Psychonutrition

Psychonutrition : Évaluation mensuelle

de la perte de poids et de son maintien

Psychonutriton – Nutriconform - Marque déposée

 

Tout comme un pèse-personne, nous suivons mensuellement le poids des comportements et des attitudes sur votre histoire du poids (Quotient pondéral). C'est votre outil de suivi motivant qui vous permettra de suivre l'évolution de votre poids dans un objectif de réduire votre risque de diabète ou d’autres pathologies associées à votre surpoids en préservant votre capital santé.

Les améliorations de l’état de Psychonutrition sont donc des sources de motivations importantes car elles sont en faveur d’une augmentation de la longévité.

Lorsque les états stagnent, vous serez invités à en chercher les causes et à vous impliquer davantage.

L’état de psychonutrition (le quotient pondéral) évolue exactement comme le poids cor¬porel et des changements importants peuvent être enregistrés mensuellement selon votre quotidien.

Si l’état de psychonutrition (le quotient pondéral) est un concept qui analyse les attitudes et les comportements des personnes face à leur excès de poids en indiquant une intensité, la différence notée lors des contrôles de suivi mesure objectivement les variations des comportements et des attitudes et vous entraîne en vous soutenant à prendre conscience des comportements et ressentis qui nuisent à votre poids capital santé.

L'intérêt de pouvoir mesurer un comportement tient, premièrement dans le fait que le sujet puisse en identifier les tendances pour ainsi mieux s'analyser. La mesure du comportement permet de pouvoir mesurer son évolution d'une façon plus objective, ce qui devient une source de motivation très importante pour la mise œuvre des outils que nous proposons.

A)   Psycho-nutrition : La personnalité

 Un rien me fait grossir ! " Vous êtes certain d'être le seul à grossir, alors qu'il vous semble manger peu. Vous êtes nombreux dans ce cas, mais chacun grossit pour des raisons différentes. Nous ne sommes pas égaux devant les calories des différences métaboliques et génétiques de chacun de nous qui nécessitent un ajustement des apports nutritionnels. Pour la dimension psychologique, voyons les raisons de la prise de poids selon la personnalité, et de répartir les causes d'obésité. De façon simplifiée 4 grands types de personnalités (leadership-extraverti, leadership-introverti, social-introverti, social-extraverti).

psychonutrition : Personnalité leadership-extraverti

Les personnes de ce type pensent que manger est une perte de temps. Elles vivent le moment présent et n’aiment pas s’attarder à table. Elles prennent volontiers un sandwich à midi, elles n’ont pas une minute de repos. Elles mangent rapidement et enfournent facilement un hamburger. Elles ingurgitent, déglutissent et font rapidement le plein. Elles croient ne rien manger, mais l’enquête alimentaire montre souvent que ramequins au fromage, pâtés à la viande ou les doubles hamburgers sont très riches en calories, et surtout en graisses. Elles apprécient lors du week-end, un bon repas gastronomique et, pendant la semaine, elles mangent au restaurant le moins souvent possible, car cela leur prend trop de temps. Si vous êtes un leadership-extraverti, vous buvez discrètement en pensant contrôler la situation. Vous buvez des alcools forts tels que le whisky pour diminuer votre anxiété, lors d’une réunion importante par exemple. Vous prenez de l’alcool pour vous stimuler pendant la journée, et pour vous endormir le soir. Vous ne faites que très rarement des excès, mais une prise régulière d’alcool doit être à proscrire. Comme vous n’avez pas le temps de manger, vous n’avez pas le temps de cuisiner et il est impensable de vous faire peser vos aliments. Nous conseillons vivement à ces personnes des régimes à index glycémique faible à midi et des barres de céréales aux fruits entre les repas. Il est très important de ne pas courir après la faim et de prévenir l'apparition d'une fringale : c’est dans ces situations que le leadership-extraverti ingurgite un double hamburger avec volupté dans un fast-food.

 

psychonutrition : Personnalité leadership-introverti

Vous êtes un leadership-introverti et, pour vous, manger est synonyme de plaisir. Vous aimez les réunions de famille et les bons petits plats préparés par la grand-mère. Les recettes de famille transmises, les gratins de pommes de terre, les pot-au-feu, les recettes du terroir sont vos plats préférés, et c’est ainsi que les erreurs diététiques se perpétuent. Vous mangez de manière régulière, routinière même. Certains choisissent régulièrement le même menu, au même restaurant, à la même table et à la même heure. L’alcoolisme, chez les patients leadership-introvertis, est plutôt solitaire. Il est lui aussi routinier, et l’alcool peut être utilisé comme antidépressif ou somnifère. Vous, leadership-introverti, buvez plutôt du vin et de la bière. Vous n’aimez guère les cocktails et le whisky, mais vous seriez tenté de prendre systématiquement un pousse-café ou un apéro. Il « suffit » souvent de détecter les erreurs systématiques et de les corriger. Nous leur demandons souvent de peser leurs aliments. Il est indispensable de reconnaître précisément leurs habitudes alimentaires. C’est chez les leadership-introvertis que les explications détaillées portent le plus leurs fruits. Les prescriptions d'un régime doivent se faire avec précision car ce type de patients leadership-introvertis pourra, avec succès, peser les aliments, contrairement aux types de personnalité qui sont beaucoup trop impatients. Autrement dit, pour convaincre un leadership-introverti du bien-fondé d’un régime, nous devons toujours rechercher les causes de sa prise de poids. Chez lui, les erreurs doivent être détectées rapidement pour qu’un régime mieux équilibré fasse merveille.

 

psychonutrition : Personnalité social-introverti

Les personnes de ce type aiment manger en société, avec des amis. Elles n’apprécient pas la solitude à table car pour elle le repas représente le partage. Parler de cuisine, des repas et des impressions avec l’entourage est une chose importante. Un des problèmes rencontrés, est de ne pas savoir refuser une invitation. Toutes les occasions sont bonnes pour faire la fête et manger en bonne compagnie. Elles ne résistent pas devant un buffet-cocktail abondant, et ne savent pas dire non lorsque leur hôte propose de reprendre du dessert, surtout s’il a été préparé spécialement pour elles.

Pour ces personnes, un des points cruciaux pour mai¬grir est d’apprendre à refuser poliment, sans offenser leur hôte. Notre habitude des personnes de ayant ces traits de personnalités est de ne pas donner des régimes farfelus qui entravent la vie sociale, ni d’interdire de sortir ! Leur besoin interpersonnel ainsi que leur raison de vivre résident dans le plaisir de partager. Ces personnalités sombrent parfois dans la dépression parce que les régimes qu’ils suivaient étaient impraticables en société et entraînaient une coupure sociale. Pour ces personnes, il est également impossible de suivre un régime spécial et de cuisiner différemment pour leur famille. À moyen terme, c’est l’échec. Le principe même du traitement consiste à manger comme tout le monde, mais en sachant refuser un deuxième service.

 

psychonutrition: Personnalité social-extraverti

Les personnes de ce type mangent par plaisir, par gourmandise, elles aiment la bonne cuisine. Epicurienne, elles aiment les bons petits plats et sont toujours à la recherche d’un nouveau restaurant gastronomique. Elles aiment la cuisine exotique et possèdent souvent un carnet d’adresses des meilleurs restaurants. Devant un somptueux buffet, il leur est facile de tout vouloir goûter ce qui cause leur perte en ingurgitant des quantités phénoménales de nourriture. Elles sont de fins gourmets et la présentation des plats, ainsi que le décor du restaurant, sont pour elles très importants. Elles aiment la bonne compagnie. Elles adorent les bons vins, les cocktails et le champagne, mais les alcools forts ont leur préférence. Elles ne festoient pas forcément toutes les fins de semaines, mais quand l’occasion se présente et que c’est bon, elles sont capables d'excès. Elles recherchent les meilleurs foies gras et les meilleurs fromages qui sont immanquablement à 50 % de matières grasses, elles aiment la double crème et les bonnes sauces. C’est un peu caricatural mais ces traits décrivent bien ces personnalités.

 

B)  Psycho-nutrition: Les habitudes

Les habitudes, pour la plupart alimentaires sont à améliorer et les excellentes habitudes sont à conserver.

Pour les mauvaises habitudes il s’agit par exemple de manger trop rapidement, grignoter le jour ou la nuit, diner devant la télévision.

            psychonutrition : les nourritures émotions décrivent la tendance de l'individu à associer: consommation d’aliments (ou d’alcool) et émotions négatives. Parfois cette as¬sociation peut être appelée boulimie. Certaines de ces habitudes sont acquises dès le plus jeune âge lorsque les parents répondent aux inconforts du bébé par un biberon ou une friandise. C'est une habitude difficile à perdre. Une émotion négative est souvent impossible à empêcher avec pour conséquence d’avoir besoin de s'empiffrer. Le suivi permet de contrôler cette habitude en travaillant sur l'émotion elle-même afin de diminuer son intensité.

            psychonutrition : Les hypoglycémie réactionnelles sont des facteurs importants à identifier. C'est une ressenti physique associé à une mauvaise organisation des repas que ce soit dans la composition du repas lui-même ou dans l’organisation des repas dans la journée. Les fringales incontrôlables, un état de fatigue global, des tremblements, le manque de concentration et un changement d'humeur (agressivité et impatience) en sont les conséquences. Le suivi en matière de psycho-nutrition vous permettra un rééquilibrage nutritionnel qui neutralisera ces hypoglycémies nutritionnelles. Notre expérience nous permet par exemple d’accompagner les personnes souffrant de diabète gestationnel lorsque les médecins nous le demandent. 

            psychonutrition : nourriture et récompense décrivent la tendance à associer joie de vivre, plaisir et récompense sous forme de nourriture. Cette association est portée et soutenue par notre société de consommation. Toutes les publi¬cités qui nous entourent à propos de la nourriture se résument plus ou moins ainsi : Pour être beau ou belle et heureux il suffit de consommer cette nourriture ou cette boisson. Le bourrage de crâne des messages publicitaires quotidiens nuisent à votre « état » psychonutrition, nous avons que les personnes obèses livrées à elle-même sont convaincues de consommer ces produits pour leur propre plaisir ou leur bonheur.

            psychonutrition: l’abus d'alcool est un facteur important dans certains cas d'obésité. L'alcool est une source d’énergie importante qui provoque la formation de tissu adipeux et de graisse corporelle. Il faut savoir que pour éliminer l’apport énergétique d’une bière il faut faire 20 minutes de course à pied intense !! L'effet d'intoxication (la consommation journalière) crée un état de pseudo-euphorie qui amène une perte de contrôle et une prise alimentaire excessive.

            psychonutrition: l'exercice physique est déterminante dans les habitudes et du contrôle du poids.

La dépense énergétique provoquée par l'activité physique aide surtout au maintien du poids, mais la prise de conscience du corps, la diminution d'appétit et le sentiment de calme et de bien-être qui en résultent, en sont les bienfaits les plus importants. Malheureusement, peu de gens porteurs d'un excès de poids bougent suffisamment. Voilà sûrement une des causes du problème.

 

 

C)  Psycho-nutrition: La  Motivation

Nous mesurons trois choses distinctes dans nos envies de faire les choses, la volonté de faire les choses au moment présent, les motivations à changer dans ses comportements et les démotivations à changer.  La motivation ou l'ensemble des motifs qui expliquent (ou non) un acte, est définie comme un facteur psychologique conscient ou inconscient qui incite l'individu à agir de telle ou telle façon.

            psychonutrition :La motivation est extrinsèque (négative) quand les motifs qui incitent à maigrir sont extérieurs à la personne. Ces motifs peuvent être utiles pour inciter quelqu'un à entreprendre un régime, mais on les dit labiles parce qu’ils dépendent de facteurs extérieurs qui peuvent ne plus être présents lorsqu’ils ne sont plus présents.

            psychonutrition : La motivation est positive (intrinsèque) quand les motifs pour maigrir viennent de l'intérieur de la personne. Une personne doit vouloir maigrir pour elle- même, pour se plaire, pour s'épanouir et être soi-même. Le Quotient Pondéral mesure cette motivation positive.

            La plupart des gens obèses qui consultent ont de la volonté et jurent qu'ils veulent absolument maigrir et que rien ne les fera flancher ! Pourtant leur motivation dans le temps flanche ! C’est pour cela que nous proposons des exercices de motivation appropriés amènent un changement rapide en quelques jours seulement. Comme la forme physique, la motivation doit être entretenue par la répétition régulière d'exercices appropriés quasi quotidiens. La motivation tout comme la volonté, est une proie facile pour les émotions. Dès qu'un problème émotif surgit, l'individu a tendance à tout oublier en ne vivant que pour le problème qui prend toute la place dans son esprit au point d’écraser l’envie d’être mieux dans sa peau.

 

 

D)  Psycho-nutrition: l’image mentale

Après les tests de personnalités, l’image mentale de soi est l'évaluation que fait une personne de ce qu'elle est comme être humain. C'est un des déterminants les plus importants dans le maintien du poids. Les personnes en situation de surpoids importants ont dans la majorité des cas, à divers degrés, ont une image d'elles-mêmes déficiente, elles ne sont pas bien dans leur peau et elles ne s'aiment pas. Sans amour de soi, peu de chance de réussite !

Nous mesurons donc les différents paramètres qui étayent l'image mentale.

psychonutrition  : La culpabilité, cette émotion négative est une des causes importantes de la perte d'estime de soi. Une très grande proportion de personne culpabilise dans une situation de surpoids, la société qui renvoie des images négatives et nos éducations judéo-chrétiennes jouent un rôle important dans ce phénomène. La culpabilité est une des émotions les plus difficiles à se débarrasser. Nous le constatons en suivant les tests répétés du quotient pondéral qui montrent, comparativement aux autres paramètres mesurés, une amélioration des plus lente de cette variable psychologique preuve s’il en est de l’histoire ancienne de nos mœurs ancrée au cœur de nos vies sociales.

psychonutrition  : La méfiance vis-à-vis des autres est une situation moins retrouvée. Elle est insidieuse et prive souvent la personne d'aides extérieures susceptibles de l'aider. À cause de leur attitude, leurs relations interpersonnelles sont souvent difficiles et sources de situations conflictuelles et émo¬tives. Ces personnes se font détester et ont peu ou pas de rétroaction positive susceptible de nourrir positivement leur image mentale. Avec beaucoup de patience et de persévérance, lorsque la confiance est gagnée des succès enregistrés sont remarquables.

psychonutrition  : la confiance en soi et l'estime de soi. En général, c'est le reflet de la satisfaction et de l'appréciation des succès enregistrés en tant qu'être hu-main. Dès la mise en place de l’accompagnement, une amélioration rapide dès le premier mois peut être remarquée.

psychonutrition  : La passivité est une attitude qui apparaît chez quelqu'un qui se paralyse, qui subit sans possibilité d’agir tout en ayant conscience qu’il faut le faire. Souvent ces gens passifs sont très occupés afin d'essayer d'oublier qu'ils ont peur de foncer vers des buts qu'ils apprécieraient davantage. Le perfectionnisme et la peur d'échouer sont les deux caractéristiques qui les paralysent. Cet état conduit souvent à la dépression et à la perte de l'estime de soi.

psychonutrition  : L'agressivité est un autre trait qui témoigne d’une énergie mal canalisée sous forme d'hostilité envers soi-même et / ou autrui. C'est pourquoi on retrouve souvent beaucoup de méfiance chez ces gens.

 

E)   Psycho-nutrition: Stress

Cette échelle mesure l'intensité des symptômes physiques causés par le stress. Le stress est une réaction du corps face à une agression physique ou psychologique. Les glandes surrénales sécrètent les hormones du stress (adrénaline, noradrénaline, cortisol) qui augmentent la pression sanguine. Le corps reçoit davantage de sang lui permettant de mieux se défendre contre les envahisseurs physiques. C'est grâce à cette augmentation importante d'énergie que l'espèce humaine a pu survivre à travers les âges.

De nos jours, nous sommes davantage confrontés à des stimuli de stress psychologiques. Or, le corps réagit de la même façon à un stress psychologique qu'à un stress physique par la production d'un surplus d'énergie. Mais, comme nous n'utilisons plus nos muscles pour fuir ou entreprendre un combat physique, cette énergie se retourne contre nous, attaque nos propres organes engendrant ainsi : ulcères d'estomac, problèmes musculaires, cancer, maladies cardiaques, etc. Notre réaction au stress psychologique n'est pas adaptée à la vie moderne et elle est même responsable de diverses pathologies. La façon dont nous gérons nos stress est directement liée à nos personnalités, nous pouvons nous seulement anticiper pour chacun les sources de stress mais nous aidons les personnes à le gérer ! 

 F)   Psycho-nutrition : Émotions

Cette échelle mesure les émotions intérieures qui demeurent un problème omniprésent impliqué dans l'excès de poids. D'un côté, la nourriture peut servir parfois à gérer un vécu émotif troublant, ou à combler un vide ressenti. D'un autre côté, les émotions peuvent contribuer à la dégradation de l'image mentale. Ainsi, les émotions sont souvent source de déceptions personnelles et de perte d'estime de soi. Elles entraînent un laisser-aller et des comportements nutritionnels incohérents. Les émotions viennent à bout de la meilleure volonté et de la plus forte motivation.

            psychonutrition: le perfectionnisme mesure la tendance à la recherche de la rigueur et au respect des règles nutritionnelles auxquelles elle croient souvent à l’opposé de l’équilibre alimentaire. Par définition, le perfectionnisme est la recherche excessive de la perfection, ce qui est, une vraie contrainte, parce qu'un perfectionniste n'est jamais satisfait de ses réalisa¬tions. Il est souvent déçu de ses performances ou de celles des autres, ce qui a pour effet de provoquer frustrations et négativité.

Avec l’expérience nous avons constaté que la tendance au perfectionnisme conduisait à la culpabilité et à la passivité par peur de ne pas être parfait et amène à la perte de confiance en soi. Le perfectionnisme tout comme la culpabilité est souvent une émotion acquise depuis l’enfance et dont l'améliora¬tion est lente.

            psychonutrition: La culpabilité est une émotion causée par la transgression d'une norme morale. La culpabilité fait partie des émotions auto-conscientes, celles permettant aux individus de réguler leurs actions. L'embarras et la honte sont des émotions proches de la culpabilité.. Les conséquences néfastes de l’obésité sur la santé ne se résument pas aux problèmes médicaux «physiques», pour lesquels une diminution de poids s’impose. Une autre conséquence, indépendante du niveau de corpulence, est la souffrance psychique. La complexité de la gestion de cette dernière vient autant de ses causes, multiples (troubles de l’estime de soi, pensées obsédantes…), que de sa prise en charge. La souffrance psychique peut en effet, paradoxalement, être aggravée par les mesures prises pour perdre du poids et doit donc être traitée indépendamment des questions de nutrition. Dans les suivis nutritionnels au long cours, le sentiment d’échec et de culpabilité est omniprésent il est primordial de mesurer cette variable conjointement avec le perfectionnisme.

            psychonutrition: L’ennui est souvent confondu avec le fait de ne rien avoir à faire et la solitude.

            psychonutrition: L'échelle de la dépression mesure la tendance à avoir des idées dépressives. Un score trop faible doit amener les personnes suivies à consulter un médecin le plus tôt possible.

Conclusion

Peu importe que votre Quotient Pondéral soit plus élevé ou que vous ayez des difficultés avec votre image mentale ou vos émotions, ne vous en faites pas. Analysez-vous lentement, prenez conscience de certains comportements, utilisez les outils proposés et vous constaterez une amélioration fort intéressante dès le prochain mois. Le fait d'apprendre à mieux vous connaître vous donnera une l’occasion de devenir un peu plus vous-même chaque jour.